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Comment choisir son liquide de cigarette électronique ?

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Il existe une quantité quasiment infinie d’arômes d’e-liquides ; soit le produit que l’on met dans une cigarette électronique, pour pouvoir l’inhaler. Pourtant, au-delà du goût, pour faire le meilleur choix, il convient de se poser une seule question.

e-liquide : faire le bon choix

La question est d’importance, car elle concerne la santé : veut-on prendre un e-liquide qui contient de la nicotine ou non ?

Si l’on n’a jamais fumé de cigarette classique, la réponse sera sans doute non. Inutile de tomber dans la dépendance au tabac et à la nicotine. Il existe assez de saveurs pour se satisfaire de chaque inhalation.

Les e-liquides sont constitués de plusieurs éléments : le propylène glycol et la glycérine végétale sont les deux plus importants, auxquels s’ajoutent donc un taux donné de nicotine et un arôme. Il peut arriver que l’on soit intolérant au PG (propylène glycol), ce qui est rare, mais ne constitue pas un problème puisqu’il est possible de trouver des e-liquides qui en contiennent moins (il suffit de choisir la composition et le dosage de son mélange), voire, qui n’en contiennent pas du tout.

Par contre, si l’on est un fumeur et que l’on aimerait réduire, puis arrêter son addiction au tabac, l’ecig comme elle est parfois appelée, semble être l’alternative la plus intéressante car elle peut être considérée comme un dispositif à part entière pour couper avec la dépendance comme nous allons le voir plus loin.

Plus efficace que les gommes à la nicotine à mâcher ou encore les patchs ? 1.5 millions de personnes pourraient témoigner que oui, puisqu’elles ont arrêté de fumer, grâce à elle.

Peut-on arrêter de fumer avec une e-cigarette ?

Si une personne veut continuer de fumer, en passant à la vape, cela est tout à fait possible, puisqu’elle peut commander des e-liquides qui contiennent le taux de nicotine auquel elle est habituée en fonction de ses habitudes.

Elle fait déjà un pas pour sa santé puisque des études semblent démontrer que le fait d’inhaler de la vapeur d’eau, plutôt que de la fumée suite au phénomène de combustion, associé à l’absence de toutes les substances contenues dans les cigarettes classiques ; dont le goudron par exemple ; fait de l’e-cigarette un produit à 95% moins dangereux.

Pour autant, on peut vouloir faire plus et stopper définitivement son addiction, après des années peut-être de cigarette.

Cela est d’autant plus possible que la gestuelle du fumeur reste. Cela peut les aider au niveau psychologique. Quand l’appareil est pris en main, la commande d’e-liquide suivante contiendra tout simplement moins de nicotine, puisque l’on décide du taux souhaité.

Comme la fréquence de vape ne change pas et que les gestes restent les mêmes, le cerveau qui est contrôlé par l’addiction, se voit trompé et assimile plus facilement le changement. L’effet de manque n’existe pas ou est considérablement atténué.

Au fil du temps, les e-liquides (dont on peut alterner les saveurs pour ne pas se lasser) contiennent de moins en moins de nicotine, jusqu’à être neutres.

La personne a ainsi arrêté de fumer. Selon les personnes et surtout selon les anciennes habitudes, le délai pour y arriver peut varier, mais il est évident, au vu des chiffres, que cela fonctionne. La cigarette électronique avec des eliquides neutres peut alors être conservée en tant que béquille psychologique au besoin pendant un temps, mais l’ancien fumeur, devenu vapoteur, peut prendre la décision de tout arrêter.

Quel que soit le choix de départ, il ne faut pas oublier que la cigarette électronique doit être choisie en fonction de sa consommation. Plus cette dernière était importante, plus la cigarette doit être de bonne capacité et offrir assez d’autonomie de fonctionnement.

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